Borsalino "Ki Saru"

- Nom : Borsalino alias "Ki Saru" ("singe jaune" en japonais)

- Prénom : Inconnu

- Age : Vraisemblablement une petite quarantaine, peut-être un peu moins.


- Description Physique :


Si l’on fait abstraction du grand manteau blanc à épaulettes d’or qui signale son statut d’officier, rien n’indique chez cet individu une quelconque appartenance au gouvernement, ni même à une quelconque organisation. A vrai dire, et bien qu’il ait mangé le fruit de la lumière, l’aspect physique relativement peu sympathique de Borsalino ne fait en rien songer à un individu brillant. Aussi grand qu’Ao Kiji, il avoisinne les trois mètres de haut et possède une carrure anormalement large sans être massive : en réalité, de même que ses deux collègues amiraux, il semble taillé sur un modèle très atypique, extrêmement haut de sorte à ce que même ses soixante-dix centimètres de largueur d’épaules ne le fasse pas paraître excessivement imposant. Il se signale par ailleurs par sa corpulence : assez mince (relativement peu épais dirons-nous) ses très longues jambes accentuent son aspect haut perché qui n’est pas sans s’accorder avec son attitude volontiers insouciante voire arrogante. Son style vestimentaire légèrement clinquant, pas encore tout-à-fait vulgaire, évoque un riche parvenu soucieux d’étaler sa récente prospérité. Il est habituellement vêtu d’un costume trois pièces à veste et pantalon d’un jaune doré à minces bandes verticales blanches assorti à une chemise vert sombre ou noire et une cravate violette. L’ensemble fait vaguement penser à un parrain maffieux des années trente qui se serait piqué d’originalité dans le choix des couleurs. Il porte également des chaussures blanches à boucles dorées et, semble-t-il, une montre dorée ostensiblement coûteuse à son poignet gauche. Son accoutrement est complété par des lunettes de soleil dorées à branches incrustées de motifs qu’il porte en toute circonstances (y compris les jours de pluie). Reste son visage : son faciès en ovale allongé, marqué de légères rides et de pattes d’oies prolongeant une tête ronde, son teint légèrement mate et ses cheveux noirs coupés courts poussant jusque sur les temps, l’arrière des joues et les pommettes suggèrent ce que nous (gens du monde réel) appellerions des origine méditerranéennes. On remarquera également son menton presque carré, son nez long, légèrement bombé sans être aquilin et relativement proéminent et ses petits yeux bruns foncés ovales. Le plus caractéristique reste sa bouche, cet ovale large et assez pulpeux, orné d’une esquisse de barbe et constamment figé en une moue de perplexité insouciante qui lui fait se tendre les lèvres vers l’avant.

- Caractère : Le calme imperturbable et l’attitude tranquille de Ki Saru, typique des amiraux habitués à ne jamais rencontrer de véritable difficulté, n’est pas tout-à-fait la lucidité indolente d’un Ao Kiji. Peu soucieux des motivations de ses adversaires ou des conséquences de son zèle, Ki Saru a pour habitude d’exécuter efficacement les ordres, sans précipitation et avec peut-être un brin d’amusement, mais également sans considération de la pitié ou de l’honneur. Il avance d’une démarche tranquille, quand il ne se déplace pas à la vitesse de la lumière pour rattraper un pirate en fuite, et sors rarement les mains de ses poches. Il serait exagéré de le taxer de stupidité, ou même de lenteur, mais il est évident que Ki Saru n’apprécie guère d’avoir à se presser ou à se contraindre à un effort, et, contrairement à Ao Kiji, semble légèrement négliger la compréhension de son environnement : son expérience et la maîtrise des pouvoirs de son fruit du démon lui suffisant largement à faire face à toutes les situations, il ne juge pas utile de chercher à agir au-delà de son rôle d’amiral, du moins tant qu’il est en mission. Bien qu’il soit difficile de déterminer le degré d’intelligence et de sensibilité de cet individu peu loquace, à la voix trainante et à l’intonation un tantinet languissante, il paraît à tout le moins que Ki Saru ne soit guère porté aux interrogations philosophiques et autres questionnements existentiels. On ne l’imagine pas, comme l’a fait Ao Kiji, donner une chance à une Nico Robin enfant poursuivie par la vindicte du gouvernement, ni reconnaître un droit d’existence à la justice non gouvernementale d’un Haguar D. Saulo. Ainsi Ao Kiji dira à ce dernier, avant de l’arrêter au cours du Buster Call d’Ohara : « Il existe différentes conceptions de la justice, aussi je ne blâme pas ta justice. » Ce genre de préoccupations ne paraît au contraire pas effleurer Borsalino. On remarquera également que l’amiral jaune est d’un naturel étourdi et volontiers insouciant, et bien que ses propos soient généralement appropriés aux situations auxquelles il se trouve confronté, il semble que celles-ci ne fassent jamais que l’effleurer : ainsi, devant un Basil Hawkins primé à 249 millions de berrys et transformé en gigantesque épouvantail, il affirmera que « chacun d’entre vous [les pirates primés à plus de 100 millions de berrys présent sur l’archipel de Shabondy] est un monstre effroyable » sans pourtant paraître effrayé le moins du monde. Il est vrai que son fruit du démon de type Logia lui épargne généralement d’être affecté par les coups. De manière générale, il paraît moins impliqué dans ses propres actes et affecté par ceux des autres que peut l’être Ao Kiji, et, quoique zélé et sans pitié pour les criminels, moins fanatique moins puritain que peut l’être Aka Inu.

- Membre de quel équipage : Aucun a priori. Mais Ki Saru appartient au QG de la Marine et fait partie du groupe des « trois amiraux »

- Rang : Aucun rang particulier mais un grade: celui d'amiral du QG de la marine.

- Prime sur votre tête : Aucune (membre de la Marine).

- Armes : Les pouvoirs de son fruit du démon et son sens très particulier de la modération.


- Histoire : [en cours de rédaction] L'enfance de celui qui allait plus tard devenir l'amiral Ki Saru ne fut pas précisément ce que l'on pourrait appeler une période difficile pour le jeune Borsalino. Né dans une famille prospère de la première partie de Grand Line, le futur marine a toujours vécu dans le luxe et l'abondance sinon dans l'excès. La famille Borsalino faisait partie de longue date d'un collectif de riches maisons d'entrepreneurs qui avaient su, par l'habilité de leur conduite des affaires, leur sens très aigu de la négociation sous toutes ses formes et la puissance de leurs relations au gouvernement, se forger, pour ainsi dire ex nihilo, un nom et une noblesse dans la haute société de Mariejoa. Devenus au cours des décennies l'un des principaux fournisseurs des Tenryuubito, les nobles mondiaux, en services de luxe et biens de consommation de toute sortes, le collectif d'affaires Tomusekai, qui comprenait une vingtaine de familles dont le clan Borsalino, faisait alors figure d'incontournable dans le monde des affaires de Grand Line. Les Borsalino et leurs pairs du Tomusekai se comptaient parmi les très rares familles à avoir bénéficié d'un statut spécial accordé par le gouvernement mondial, celui de nobles de Grand Line, condition inférieure à celle des Tenryuubito, mais néanmoins prestigieuse et pouvant, avantage non négligeable, accordée en théorie à n'importe quel roturier ayant fai ses preuves aux yeux de Marijoa. Les Tenryuubito eux-même, pourtant accoutumés à considérer les plébéiens comme des insectes, s'étaient presque habitués à fréquenter occasionellement les riches propiétaires de l'immene Tomusekai. C'est dans cet univers de luxe somptueux mais très ostentatoire, de richesse incontestable mais obtenue trop vite à la faveurs de moyens équivoques et d'élitisme social saturé de préjugés et de relations comprettates que grandit le futur homme-lumière. Giganesque corporation en réseau fonctionnant sur un mode qui tendait de plus en plus, avec le temps, à imiter celui d'une grande mafia, propriétaire d'une île paradisiaque non loin de Marijoa, le clan Borsalino n'en finissait pas de susciter les convoitises et d'ammonceler autour de lui les rancunes. On dit que c'est à la faveur d'un différend avec l'un des tout-puissans Tenryuubito que se joua le destin final des Borsalino. On parle également, à mots plus couverts, des rivalités croissantes etre les familles qui tenaient le Tomusekai et également, mais presque sur le ton du murmure, de secrets gouvernementaux gênants qui seraient parvenus à la connaissance des riches Borsalino. Toujours est-il que, alors que le futur Ki Saru entrait dans sa quinzième année sans intention manifeste de se forger un avenir, les évènements se précipitèrent. De malheureux accients causèrent la perte des héritiers principaux des Borsalino. Le futur amiral d'or, élevé un peu à l'écart des mondanités crapuleuses de la famille par un oncle plus indépendant ou plus excentrique que les autres -mais non moins fortuné- se retrouva donc soudainement propulsé au rang de premier bénéficiaire du colossal héritage du chef de clan vieillissant, Don Giuseppe Borsalino, a grand dam de ses multiples oncles, tantes et cousins. Le vieux Giusepe avait, par une lucidité d'homme d'affaires agurri ou peut-être par un caprice de vieillard milliardaire, décidé d'offrir à son héritier principal un cadeau d'une exceptionelle rareté, qui avait coûté au patriarche une somme astronomique -pour toute autre que lui. Il s'agissait d'un fruit du démon. C'est à ce moment particulièrement fatidique de son histoire que la famille Borsalino fut frappée par un autre malheur: leur proprété insulaire principale, la mirobolante île de Pretty coin, fut ravagé par la terrible flotte d'un pirate hors normes, qui fut par la suite considéré comme l'un des Quatres Empereurs du Nouveau Monde, au même titre que Shanks, Newgate et Kaidu. Ebranlé par la nouvelle de ce pillage qu'il n'avait pu observer que de très loin, à l'abri dans le sainctuaire blindé du palais Borsalino, et élevé dans un certain idéal d'ordre et de paix par son vieux tuteur autodidacte, le futur membre de l'état-major de la Marine se décida, ans un élan d'indépandance vis-à-vis de l'environnement familial qu'il jugeait étouffant, d'entrer au sein de la glorieuse armée des mers. Soulagés de se voir épargner le patriarchat de l'encombrant héritier, ses oncles lui offrirent le fruit du démon qui lui était dû, comme cadeau de départ destiné à motivé l'abandon de ses droits à la fortune familiale. Le jeune aspirant eut la chance de se retrouver, en tant que membre d'une famille importante pour le gouvernement, sous la tutelle spécial du redoutable vice-amiral Hans Stonehammer. Celui-ci lui fit subir, à égalité de traitement avec ses camarades moins privilégiés, un entraînement excessivement difficile au QG de la Marine, et surtout lui fit profiter de a considérable expérience. Entré dans les bonnes grâce du QG du fait de son ascendance, aidé des formidables pouvoir de son fruit logia et des enseignements de Stoneammer, il progressa rapidement, gravissant les échelons, devenant sous-officier à dix-neuf ans, officier à vingt-quatre, officier supérieur à vingt-huit et Vice-amiral à trente et un. Sa participation successive à deux Buster Call en un temps relativement court, ainsi que la libération opportune d'un poste à l'état-major, lui permirent d'accèder au rang suprême d'Amiral du quartier général à trente-huit ans.

- Fruit du démon : Pika Pika no mi, le logia de la lumière (présent dans le manga).

- Capacité du fruit du démon : Le fruit Pika pika transforme le corps de son utilisateur, en faisant un pur concenré de lumière. Comme tous les Logias, il permet donc à celui qui l'a mangé d'être insensible aux attaqes physiques conventionnelles (impossible de "blesser" de la lumière) et de reconstituer son corps à volonté. L'utilisater du fruit Pika Pika deviet donc un "homme-lumière" : il peut se déplacer et donner des coups à la vitesse de la lumière, atteindre un endroit éloigné en se reflétant sur les surfaces planes à proximité (technique du Yata no kagami) et lancer des rayons de lumière concentrés (comparables à nos rayons laser) à forte puissance avec n'importe quelle partie de son corps. Il peut par ailleurs utiliser ses pouvor pour former une pée de lumière pou se battre au corps à corps (technique du Ama no Murakumo). En résumé, le fruit Pika pika accorde à son utilisateur toutes les facultés de la lumière.

-Test rp : [en cours de rédaction]


P.S: Je me mets à la rédaction de l'histoire et du test demain (je prévoit 50 lignes chacun environ).